Courants vagabonds

Pour moi une onde est un phénomène spacio-tempo-électro-magnéto-gravitationnel

Si on la défini dans un repère orthonormé on exprimera une onde comme une fonction des composantes suivantes :

_ spacio ce sera le lieu réel ou virtuel, présent passé ou future.

_tempo ce sera son histoire.

_électro ce sera la première composante électrique du vecteur spacio temporel qui pourra la représenter dans un repaire orthonormé.

_ magnéto ce sera la deuxième composante magnétique du vecteur spaciotemporel qui pourra la représenter dans un plan.

_gravito ce sera la troisième composante du vecteur qui pourra fixer ce plan dans l’espace et le temps.

Chaque composante sera étroitement liée et dans certaine situation elle donnera lieu à des constantes.

Pour certaine étude on résumera l’expression l’équation appliquée au vecteur onde dans un seul plan et en analytique la réduire à son équation scalaire.

Ainsi une onde en mouvement génère un torseur droit ou gauche selon les cas.

On pourra aussi transposer les lois de la physique, pour exprimer chaque composante, les rendre plus abordables et plus concrètes.

Si l’on exprime ces lois en coordonnées sphériques on tombera dans le domaine de la géophysique pour l’infiniment grand et la mécanique quantique la chimie pour l’infiniment petit.

L’action et la réaction et le déplacement en deux vecteurs onde ramènent au domaine de la mécanique des corps.

Si l’on s’attarde sur la composante électromagnétique ce sera le domaine de la radio et de l’optique où l’espace temps permet de visualiser dans l’espace ces mêmes lois.

Par exemple en électricité, avec des bobines et une source d’onde de pulsée variable, on réalisera ou un circuit bouchon (il y a absorption d’énergie) ou un circuit résonnant (il y a amplification de l’énergie) comme pour la mécanique deux vecteurs ou pseudos vecteurs s’additionnent et s’annulent dans l’espace plan spacio temps (la vie)…

Si l’on se transpose les lois de l’optique (Fresnel et Descartes) en radio, on peut imaginer qu’une source radio (comme un rayon lumineux ) générera une image réelle dans l’air (la sphère du rayonnement source d’un torseur d’électrons et de photons…) et au sol une image virtuelle (plan de sol générateur de courants vagabonds ) toutes deux régies par les mêmes lois de l’électricité et de l’optique.

Pour la radio, la surface(D²) de la source étant à une hauteur qui va caractériser des zones:

_zone de Rayleigh (ou le DAS est constant D²/2lambda)

_zone de Fresnel (ou le DAS fluctue D²/2lambda à 2D²/ lambda)) la surface à partir de laquelle l’énergie réfléchie n’est pas déphasée de plus d’un quart de cycle, l’énergie interfère de façon constructive.

_zone de Fraunhofer (ou le DAS diminue en fonction de f et 1/d).

Ces trois zones sont source de courants vagabonds qui se propagent dans une impédance plus faible que l’air, le sol. Et comme pour tout circuit électrique lors d’une anodisation il y a deux conducteurs: le fil aller (l’air) et le fil retour (le sol)…

Sur un site radio nous avons trois secteurs orthonormés qui se comportent comme une omnidirectionnelle qui respire en répartissant la puissance sur chaque secteur selon le trafique comme le ferait un système triphasé non équilibré…

On pourra limiter l’effet de ces courants vagabonds en réalisant des zones équipotentielles ou aussi pour des animaux en augmentant l’impédance de pas (sabots isolés par des bottines ou aussi sabots ramenés shuntés entre eux face au sol).

Pour la mesure de ces courants vagabonds on pourra utiliser un magnétomètre et une boussole pour l’orienter on déterminera le composantes horizontale (le module et le sans) du champs magnétique en un lieu. Alors pour en déduire la composante horizontale due aux courants vagabonds on soustraira celle mesurée à celle théorique du lieu (équations circulaires ramenées en un lieu du champ magnétique terrestre voir site géomagnétisme)

Ce champ magnétique convertis en champs électrique confirmera les valeurs de celui généré par des ondes pulsées reçues en ce lieu.

Voir aussi onglet magnétomètre boussole sur le site https://vaetecradio.wordpress.com

Dans l’onglet HT THT BT vous aurez la possibilité de calculer la résistance du sol et d’évaluer les tensions ou les courants en mode différentiel et en mode commun.

Conclusion : Pour une même source, l’image de l’onde réelle véhiculée dans l’air; le courant et la tension de pas, seront plus importantes si celles-ci sont véhiculées par l’image virtuelle de l’onde rapportée par le sol: toutes deux ne sont pas à négliger.

L’image au sol s’estompera plus rapidement que celle dans l’air, car portée par le magnétisme terrestre. (Car Z (sol) < Z (air) donc pour P donnée on aura I(sol) > i(air) et U(sol) < U(air) )

Le bilan de liaison montre que pour une puissance TRX de 100W à une distance de 600m en 5G si l’on dispose d’un niveau relatif de -70dBm c’est que l’on aura 2 576 fréquences synchrones à la source, le courant vagabond serait de 0.145A/m dans l’air et 0,673A/m dans le sol et si le niveau relatif est toujours de -70dBm à 2km, le courant vagabond serait le même ,mais avec un sol de 300hms il ne serait plus que de 123mA…

Cliquer pour accéder à Th%C3%A9orie-des-images2.pdf

https://fee.asso.fr/comprendre-leolien/les-eoliennes-les-radars-et-les-ondes/

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